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LOGEMENT SOCIAL : LE VEGETAL A LUI AUSSI SON MOT A DIRE

Le Groupe des Chalets s'est emparé de longue date de la question du végétal dans ses résidences. Il a d’ailleurs été retenu parmi les lauréats du concours « Dessine-moi Toulouse » pour deux programmes novateurs !



Plus de nature dans notre quotidien !

Selon un sondage récent, 87% des Français souhaitent plus de nature dans leur quotidien, et les expériences récentes de confinement n’ont fait que renforcer cette tendance. Cela fait d’ailleurs longtemps que les bailleurs sociaux réfléchissent à la manière d’aménager des espaces végétalisés lorsque la configuration des résidences le permet. Les programmes neufs comportent désormais tous un volet paysager, et de nombreux bâtiments anciens bénéficient de rénovations dans ce sens.

Il faut dire que les espaces végétalisés renforcent l’attractivité des lieux aussi bien auprès de leurs occupants que vis-à-vis de l’extérieur. Ce sont des espaces communs qui favorisent les rencontres et les échanges. Enfin, ils sont un moyen de lutter contre le réchauffement climatique : non seulement les végétaux agissent sur les émissions de gaz à effet de serre, mais ils créent des îlots de fraîcheur qui améliorent le confort d’été.

L’environnement au cœur du projet

Dans certains cas, l’élément végétal est même le point central autour duquel s’élabore un projet. A Toulouse, le Groupe des Chalets et ses partenaires ont ainsi été retenus parmi les lauréats du concours « Dessine-moi Toulouse » pour deux programmes novateurs mêlant logement social, agriculture urbaine, développement durable et biodiversité.

L’Agriparc des Berges de l’Hers réunira ainsi des activités agricoles et maraîchères sur une trentaine d’hectares. Il est associé au projet Edenn, où seront transformés et distribués les produits. Autour de cet ensemble 45 logements sociaux seront construits. L’autre programme, Agriville, sera réalisé dans le cadre de l’aménagement du quartier Paléficat, autour d’un parc de 5 hectares. Il créera un véritable quartier, avec des activités agricoles et nature, des jardins partagés, des services et des commerces et plus de 200 logements dont 70 logements sociaux. On le voit, la végétalisation a de beaux jours devant elle !

Dans les jardins partagés, les locataires acteurs de l’environnement

A la campagne comme en ville, nombreux sont ceux qui aimeraient cultiver un bout de jardin. Ce rêve devient peu à peu réalité grâce aux jardins partagés que les bailleurs sociaux sont de plus en plus nombreux à proposer. Et en effet, ils n’ont que des avantages : embellissement du cadre de vie, autoproduction d’une nourriture saine, sensibilisation au développement durable, échanges et convivialité… Et pour ceux qui n’ont jamais manié la bêche et le râteau, pas de panique : quand ils n’accompagnent pas les locataires eux-mêmes, les bailleurs s’appuient le plus souvent sur des partenaires spécialisés. Ces associations, régies de quartier ou autre aident les apprentis cultivateurs à s’occuper des parcelles qui leurs sont confiées et participent à l’organisation de ces nouveaux espaces d’échange et de convivialité.

Charges locatives : trouver le bon équilibre

Sur le papier, tout le monde est d’accord pour vivre environné de beaux espaces verts. Mais ils ont un coût qui se répercute sur les charges locatives. C’est la raison pour laquelle les bailleurs optent souvent pour des aménagements simples, avec des espèces végétales qui ne demandent pas trop d’entretien. Cette gestion raisonnée sur le plan économique est aussi vertueuse sur le plan écologique quand elle s’accompagne de pratiques respectueuses de l’environnement, comme les jachères fleuries. Quelques réaménagements permettent aussi de simplifier le travail d’entretien en remplaçant les pelouses par des buissons dans les espaces difficiles à entretenir.

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