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Témoignages

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Joëlle, une locataire senior investie !

A l'automne de notre vie, il me paraît tellement essentiel de trouver le calme et la sérénité.

 🌞 Joëlle, locataire de la résidence Chalets Seniors "Parc Romane" à Toulouse propose à ses voisins des ateliers sophrologie dans la salle commune de sa résidence.

"L'ambiance des ateliers sophrologie que je mène au sein de la résidence Parc Romane est vraiment très agréable et c'est un vrai plaisir de voir que les personnes sont réceptives et surtout de les voir repartir détendues et souriantes.

De plus le "travail" est suivi d'un petit gouter pour permettre les échanges dans la joie et la bonne humeur.

J'espère sincèrement que petit à petit cela permettra de créer du lien entre nous et ainsi générer un climat de bienveillance les uns vis à vis des autres.

A l'automne de notre vie, il me paraît tellement essentiel de trouver le calme et la sérénité."

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Nadia Burgade, coordinatrice de projets et Coprésidente de l’association «La Maison des Citoyens 31»

Le Groupe des Chalets soutient l’initiative de l’Association «La Maison des Citoyens 31» qui distribue des colis alimentaires aux habitants en situation fragile des quartiers Mazades et Negreneys à Toulouse.

Afin de contribuer à cette action citoyenne et de faciliter l’organisation de cette association qui œuvre au service de la solidarité et du vivre ensemble, le Groupe des Chalets a mis à sa disposition un local au quartier des Mazades. Rencontre avec Nadia Burgade, coordinatrice de projets et Coprésidente de l’association. 

Comment s’est mise en place cette action ?

« C’est lors de notre opération « au bout du fil », nous permettant de garder un lien téléphonique avec nos bénéficiaires durant le confinement, que les familles nous ont fait part des effets de la crise sanitaire sur leur situation déjà fragile : le chômage partiel, le manque de cantine pour les enfants… ont créé de nouvelles difficultés et accentué la précarité alimentaire dans de nombreux foyers. Il nous a semblé impératif de nous mobiliser et d’agir rapidement pour déclencher une aide d’urgence à tous ceux qui en avaient besoin. Nous apportons habituellement une aide alimentaire à une vingtaine de familles (environ 60 personnes) et actuellement ce n’est pas moins de 310 personnes qui sont concernées ».

Comment se déroule l’organisation ?

« Une chaine solidaire s’est mise en place rapidement et rassemble les habitants, bénévoles, associations, commerçants, partenaires, élus… Tous sont unis, mobilisés et collaborent pour répondre au mieux aux besoins de ces familles. Les associations et les commerces de proximité contribuent à la donation de produits alimentaires (viande, épicerie…) et grâce aux dons des habitants nous complétons nos stocks tout en soutenant ces mêmes commerces de proximité. Nos bénévoles collectent et stockent les produits dans le local mis à disposition par le Groupe des Chalets. Ils préparent les colis selon la composition des familles, leur régime alimentaire et assurent trois distributions par semaine dans le respect des règles sanitaires : les lundis, mercredis et vendredis de 14h00 à 17h00 ».

En quoi notre local contribue-t-il au bon fonctionnement à votre association ?

« Ce local nous offre un espace de stockage dont nous ne disposions pas et nous apporte un confort d’organisation. Il est visible et très bien identifié dans le quartier grâce à son emplacement géographique ».

Au-delà de l’aide alimentaire, qu’est-ce que cette action apporte au quartier ?

« Cette action a suscité un véritable élan de solidarité qui permet des rencontres entre tous, bénévoles, locataires, copropriétaires… Elle retisse le lien social et favorise le vivre ensemble sur le quartier. Outre les impressions d’attestation, la fabrication et distribution de masques au début du confinement, les appels téléphoniques et l’aide alimentaire, des services de proximité sont apportés aux personnes vulnérables qui ne sortent pas encore : courses, pharmacie… Le centre commercial retrouve une vraie dynamique et les habitants se réapproprient les espaces de façon positive grâce au passage des bénévoles, des familles qui viennent au local… C’est une très belle mosaïque humaine et sociale qui s’est créée sur le quartier ! » 

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Abdel Chouari, Fondateur et Directeur de BREAK’IN SCHOOL

BREAK’IN SCHOOL, une association qui œuvre sur les quartiers pour promouvoir les cultures urbaines et danses Hip-Hop au travers de nombreuses actions.

Le Groupe des Chalets a mis à disposition de l’association un mur pour un live Graffiti lors de la « Groove Session Block Party » organisée le 28 août dernier sur la place Agapito Nadal au quartier Les Arènes. C’est lors de cet évènement que nous avons rencontré Abdel Chouari, Fondateur et Directeur de cette école de danse pas comme les autres ! Nous lui avons posé trois questions… 

Dans quel cadre a été organisé cet événement ?

Le Projet « Groove session » a été imaginé pour rassembler les artistes et les habitants autour de la culture hip hop. Nous l’avons initié en 2015 sur les Quartiers Prioritaires de la Ville de Colomiers «Val d’Aran» et «d’En Jacca» et ensuite développé sur d’autres quartiers. 

Beaucoup d’évènements étant organisés en Centre-Ville, nous avions envie de ramener cette culture hip hop - apparue au début des années 70 dans les quartiers populaires - au cœur des quartiers et de la faire vivre là d’où elle vient… La culture s’est démocratisée et il nous tient vraiment à cœur de favoriser l’égalité culturelle en produisant des spectacles d’une grande qualité artistique. 

L’an dernier nous étions sur le Quartier « Cépière-Beauregard » où nous avons mis en place l’événement en autonomie avec l'ASSQOT. Aujourd’hui, c’est un projet itinérant que nous allons faire vivre sur l’ensemble des Quartiers Prioritaires de Toulouse Métropole ! 

Quels sont les artistes, structures qui ont collaboré au spectacle et les partenaires qui vous ont aidé à le mettre en œuvre ?

Après avoir eu l’accord de la Ville de Toulouse, nous avons collaboré avec deux associations culturelles et jeunesse, qui agissent sur le territoire pour favoriser les dynamiques locales : l’ASSQOT (Animation Sociale et Solidaire des Quartiers Ouest Toulousains), et le Centre des Arts Urbains de Bagatelle.

Les jeunes du quartier ont ainsi pu participer à divers ateliers : chant, danse, graff… mais notre rôle étant également de transmettre des valeurs citoyennes au travers de nos actions, notamment l’engagement, le respect, la tolérance… ils nous ont aussi aidé à l’installation du matériel, ont veillé à la sécurité lors du spectacle et au respect de la réglementation des normes sanitaires en vigueur. Ils se sont investis pour que l’évènement soit une vraie réussite, et ce, malgré un contexte sanitaire vraiment particulier, et il l’a été !

D’autres partenaires nous ont accompagnés : le Groupe des Chalets en mettant à notre disposition un mur pour le graff, Tisséo qui a notamment déployé des agents de médiation durant l’évènement mais également Eurovia, le Conseil départemental de la Haute Garonne, la Région Occitanie, le CGET et la Ville de Toulouse ».

Au-delà de promouvoir les cultures urbaines et danses hip-hop sur les quartiers, qu’est-ce que vous souhaitez apporter aux habitants au travers de vos actions ?

L’organisation d’un tel événement rassemble autour de valeurs positives, permet de réunir les générations, de favoriser la mixité sociale, améliore le vivre-ensemble… 

Si nous contribuons à faire vivre toutes ces valeurs essentielles et si nous arrivons à faire oublier aux habitants leur quotidien le temps d’un spectacle, à leur apporter un peu de bonheur, alors pour nous le pari est gagné ! 

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Christine AROD, locataire au 121 avenue Tolosane à Ramonville-Saint-Agne

De belles initiatives citoyennes sur nos Territoires grâce à nos locataires seniors !

C'est lors des échanges téléphoniques de courtoisie, réalisés par nos équipes auprès des locataires
seniors durant le confinement, que nous avons eu connaissance de l’implication d'une de nos
locataires de Ramonville-Saint-Agne, Madame Christine AROD, qui a participé à la confection de
masques en tissu… Pas moins de 2000 durant les 2 mois de confinement ! Une façon d'être solidaire
durant cette période si particulière. Nous lui avons posé quatre questions pour en savoir plus...

Vous avez confectionné des masques en tissu, pourquoi vous êtes-vous lancée dans cette aventure ?

« Je suis adhérente de l’Association CARACOLE qui organise, par le biais de sa commission et de son bus le Car@bricole, des cafés bricole, des ateliers de réparations et de couture… Au début du confinement, il n’y avait pas suffisamment de masques à disposition de ceux qui en avaient besoin… Nous avons eu des demandes de la part de nos médecins et du personnel soignant et hospitalier, c’est ainsi que l’aventure a commencé ! Nous nous sommes inspirées d’un tutoriel de l’hôpital de Grenoble que nous avons amélioré au fur et à mesure des retours faits par les utilisateurs, pour que les masques soient le mieux adaptés aux attentes. Avec un élu de la municipalité de Ramonville, nous avons même réalisé un tuto qui a été
diffusé sur le site de la Mairie ainsi que sur le site de l’Association » 

A qui les destiniez-vous et comment s’organisait la distribution ?

« Au personnel soignant de notre ville et de l'hôpital Rangueil mais aussi aux particuliers, aux bénévoles en charge de maraudes, aux employés de la mairie qui continuaient ou reprenaient leur activité… Nous avons fabriqué pas moins de 2 000 masques durant les 2 mois de confinement ! Nous avons demandé une contribution pour le fil, les aiguilles… Entre 2 € et 5€, selon ce que les personnes souhaitaient donner. Nous en avons également donnés à titre gracieux aux plus démunis. Les personnes venaient chercher leur commande à la Maison de l'Economie Solidaire où nous disposions d'une grande salle. Nous n’avons fait qu’un seul envoi à Saint-Jean. » 

Quel souvenir en garderez-vous ?

« Au début nous étions deux puis petit-à-petit le cercle s’est agrandi, certains nous ont fourni du tissu et nous ont même rejoints ! Au final, nous étions 6/7 à nous retrouver de façon régulière à la MES où se situe également le siège social de notre association. Nous avons partagé des moments formidables dans un cadre agréable, en respectant bien sûr les consignes de distanciation sociale. Un article est même paru dans la Dépêche, au début du confinement, repris par un ami journaliste sur le site dans le VAR numérique. Cela m'a valu une journée un peu stressante avec 247 appels téléphoniques ! Ce fut une formidable aventure humaine, pleine de solidarité et de complicité, c’est sans aucun doute ce que je garderai en mémoire de cette période du COVID , le confinement devenant synonyme de partage. » 

Qu'avez-vous pensé de l'initiative de votre bailleur, de garder un lien téléphonique avec les locataires seniors durant cette période ? Avez-vous apprécié cet échange ?

« J'ai bien apprécié que des personnes très aimables et disponibles prennent de mes nouvelles pendant cette période de confinement où je n'étais pas très confinée, mais ce fut agréable de papoter sur nos vies arrêtées et distanciées. »